Le problème engendré par cette déclaration
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Le problème se situe précisément au grand nettoyage que le Président veut effectuer. Durant sa campagne, le chef de l’Etat a touché un mot à propos de la formation professionnelle, et plus spécialement celle des formations qui ne sont aucunement intéressantes. Le Président s’est ainsi engagé à "déréférencer les formations qui ne sont pas suffisamment qualifiantes et qui ne permettent pas de déboucher sur un emploi durable". Comme il a été élu pour un second mandat, son projet risque de prendre jour rapidement. De ce fait, les formations touchées par cette remarque n’apparaîtront plus sur la plateforme Mon compte formation, et ne seront donc plus finançables via le CPF. La vérification de cet avertissement par le président de la fédération des Acteurs de la compétence, Pierre Courbebaisse, peut être visible sur le site du Capital.
Situation de ceux qui utilisent le cryptomonnaie.
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Comme n’importe quelle personne, ceux qui disposent de bitcoins ou d’éthers, sont également obligés de faire une déclaration fiscale. Cela aurait dû commencer depuis jeudi 7 avril dernier, lors du lancement de la campagne de la déclaration de revenus 2022. Ainsi, si l’année dernière vous avez vendu des cryptos et obtenu des plus-values, ces bénéfices doivent être inscrits dans un formulaire spécial. Il sera imposé au prélèvement forfaitaire unique de 30 %. Mais il faudra également informer le fisc concernant les autres revenus de chacun, tels que les revenus passifs (le minage). Pour définir toutes les subtilités sur les cryptomonnaies, il est recommandé de demander des informations à un d’expert.
Bonne nouvelle pour les lycéens en classe de terminale
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Ils ont eu beaucoup de chance. Normalement, ils avaient jusqu’à jeudi 7 avril 23h59 pour confirmer leurs vœux sur Parcoursup. Ils ont obtenu un délai additionnel de 24 heures. C’était sur le site de Parcoursup que le responsable au sein du ministère de l’Enseignement supérieur l’a dit. Cet ajournement a été lancé alors que la plateforme était encore en maintenance ». Le ministère n’a pas encore pu expliquer les raisons de cette panne. Cela a eu une répercussion chez les candidats à la présidentielle. La plateforme partage en effet les aspirants à l’Élysée, certains voulant l’abroger, telle que le candidat Jean-Luc Mélenchon, Anne Hidalgo, Fabien Roussel ou encore Yannick Jadot.
