Se reconvertir dans le métier de la généalogie

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Le terme de généalogie se rapproche souvent à un loisir que l’on adopter. Néanmoins, être un généalogiste évoque une profession tout à fait différent et qui demande de sérieuses connaissances et de références. Devenir un généalogiste peut se présenter pour une reconversion.

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A ce titre et par exemple dans la recherche des liens de parenté, le généalogiste se réfère à de nombreuses ressources dans ses études et analyses. En conséquence, non seulement ce métier demande une bonne culture générale mais il doit maîtriser les instincts ainsi que les profils incontestables d’un enquêteur. Se présentant comme un vrai battant, les difficultés devront toujours être résolues.

Le métier du généalogiste

L’objectif de ce genre de travail est la recherche des liens de parenté. Comme le rôle du généalogiste consiste à effectuer des enquêtes et des analyses pour disposer des résultats, il est souvent confondu avec le métier d’enquêteur. Pour ses analyses, le généalogiste travaille par étape.

La première étape consiste à travailler sur les documents officiels et administratifs comme les actes de naissance, les livrets de famille, les avis d’imposition, les cadastres, les actes de succession, etc. De ce fait il coordonne ses actions avec ceux des mairies, les salles d’archives sans oublier les administrations militaires.

L’étape suivante se confirme avec l’analyse des papiers et documents familiaux, dont les correspondances, les photos et les diplômes, les coupures de journaux, les abonnements, etc.

Ensuite, le généalogiste travaille sur terrain en procédant à des enquêtes au niveau du voisinage, des entreprises pour gagner des informations supplémentaires.

Tout travailleur intéressé par le métier de généalogiste dans sa reconversion professionnelle devra savoir que chaque élément propice et le moindre volet peuvent aider à remonter des pistes ou d’en explorer de nouvelles.

Ce métier se distingue sous deux types de généalogistes :

  • le généalogiste familial qui axe ses recherches auprès des particuliers qui souhaitent établir leur arbre généalogique ou retrouver un membre de leur famille ;
  • le généalogiste successoral qui est également connu comme « chasseur d’héritier », travaille avec des professionnels comme les notaires, les banquiers, les agents immobiliers ou les assureurs, notamment dans le cadre de succession et des héritages.

Que faut-il savoir avant une reconversion en généalogiste ?

Il faudrait reconnaître que le métier de généalogiste est un métier impliquant une passion. Il ne suffit pas d’être juste curieux pour confirmer pouvoir être un généalogiste. Ses qualités sont bien plus sérieuses.

Particulièrement, pour être un généalogiste, il faudrait savoir combiner la patience et la persévérance qui sont indissociables pour cette profession. A titre d’exemple de persévérance, parvenir à dresser des liens de parenté dans une famille demande parfois des mois ou des années. Les difficultés sont occasionnées à chaque analyse de document. Malgré toutes les embûches, le généalogiste ne doit jamais baisser les bras et continuer à enquêter et explorer d’autres pistes.

Ces qualités laissent confirmer qu’un apprenant disposant d’une réelle nature d’enquêteur pourra éventuellement avoir les bases nécessaires pour une reconversion dans ce métier. Pour enregistrer une efficacité et succès dans ses recherches, le généalogiste se doit de disposer d’une excellente culture générale et de solides connaissances en droit.

Avec ces derniers atouts, il aura la facilité d’assimiler le jargon utilisé dans les documents juridiques. Par ailleurs, de très bonnes connaissances en histoire sont également essentielles pour savoir où aller chercher l’information plus rapidement. Une fois que le généalogiste aurait fini ses enquêtes, il doit établir un compte-rendu de ses recherches et analyses. De ce fait, il doit présenter de très bonnes qualités rédactionnelles et un esprit de synthèse pour mentionner uniquement les éléments importants et nécessaires.

La disparité des familles est souvent occasionnée par l’expatriation et la mixité des unions. De ce fait, les familles se répartissent aux quatre coins du monde. La connaissance d’une langue étrangère s’avérera nécessaire pour que le généalogiste puisse communiquer plus facilement avec les administrations des autres pays.

Formations requises pour devenir un bon généalogiste

En France, ce type de profession n’est pas réglementé et ne nécessite pas en conséquence des diplômes spécifiques. Néanmoins pour assurer ce type de reconversion, il est fortement recommandé de maîtriser des connaissances notariales, d’histoire et de droit. Les recherches et investigations se basent surtout sur ces connaissances.

 A défaut de ces connaissances, deux parcours de formation peuvent être éventuellement acquises comme base dont :

    • le DU de généalogie 
    • la licence professionnelle activités juridiques, spécialité généalogiste successoral.

Pour information, le cursus du DU se déroule en présentiel ou à distance, et est finançable par le compte personnel de formation. Ce point serait bénéfique et certaines pour s’engager dans une reconversion professionnelle dans ce domaine.