Parmi les multiples métiers de l’entrepreneur, l’exercice de ce type de profession est légalement reconnu. Dans la réalisation de son travail, l’auto entrepreneur spécialiste en terrassement doit respecter beaucoup d’obligations.
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Toutefois, il est recommandé de se renseigner sur les conditions d’accès au métier avant de s’y reconvertir. D’autres éléments importants doivent être analysés comme :
Les risques devront être sérieusement étudiés avant d’opter pour les meilleures décisions contribuant à la réussite du projet d’un auto-entrepreneur en terrassement.
La première responsabilité consiste particulièrement en la préparation et la viabilisation de tous les terrains. Ce technicien spécifique maîtrise entièrement l’analyse et l’interprétation des plans. Ces travaux s’effectuent souvent en début de chantier. Ces critères permettront initialement de confirmer les résultats suivants :
L’auto-entrepreneur spécialiste du terrassement s’appliquera principalement à la réalisation des ouvrages occasionnant des changements à la forme naturelle du terrain. Généralement, ce type d’activité accompli en priorité précède l’accomplissement d’opérations d’aménagement ou de construction.
Néanmoins, outre le terrassement, ce technicien spécialiste s’occupe des travaux suivants :
Mais ses activités consistent également à apporter ses connaissances et aptitudes pour :
D’autre part, il doit se conformer strictement aux dessins communiqués par l’architecte. En parfait spécialiste, les réalisations effectuées par un auto-entrepreneur en terrassement incluent également les travaux suivants :
Dans l’accomplissement de ses travaux, l’auto-entrepreneur spécialiste du terrassement doit maîtriser la conduite des différents engins spécifiques de chantier comme :
Ces engins s’avèrent tous être pratiquement dangereux. Leurs conduites peuvent occasionner de multiples dommages physiques et matériels aussi bien au conducteur d’engins qu’à un tiers. Le conducteur d’engins doit, en même temps, maîtriser l’utilisation de ces gros équipements de chantier, mais il devra obligatoirement disposer d’une autorisation de conduite pour chacun de ces derniers.
A cet effet, ce spécialiste devra :
En premier lieu, le candidat devra être un technicien polyvalent et disposer surtout d’une bonne résistance physique. Il faudra mentionner que l’auto-entrepreneur en terrassement aura également à travailler pour de petits et des grands projets.
Non seulement, ce technicien spécifique aura à affronter et résister aux éventuelles intempéries mais il aura à justifier les points suivants :
Une bonne constitution physique lui permettra de soulever de multiples lourdes charges.
Initialement, ce professionnel devra se conformer aux règles régissant le régime de la micro-entreprise. Mais en outre, il aura à s’acquitter de plusieurs impératifs aussi bien avant qu’après le démarrage de son activité. A titre d’exemple, il devra informer continuellement de l’avancement des travaux. L’auto-entrepreneur spécialiste du terrassement sera tenu de procéder à la communication des renseignements spécifiques avant le lancement de l’activité. Cette étape consistera à la création d’une micro-entreprise en ligne. Avec cet outil, il aura le choix entre déclarer mensuellement ou trimestriellement son futur chiffre d’affaires.
Comme tout micro-entrepreneur, le terrassier indépendant doit présenter un chiffre d’affaires annuel inférieur à 176 000 euros. Par ailleurs, il sera également soumis à la présentation d’un plafond de 72 000 euros pour ses revenus générés par la main-d’œuvre. En France, ce type de métier est exonéré de taxe sur la valeur ajoutée jusqu’à un seuil dont le plafond varie en fonction du fait qu’il exerce une activité commerciale, libérale ou artisanale.
Au-dessus d’un seuil de base de 85 800 euros, le terrassier indépendant commerçant est exonéré de TVA. Toutefois, il sera obligé de s’en acquitter si le dépassement est de 94 300 euros. Entre les deux montants, le commerçant est déchargé du paiement de la taxe si le seuil de base n’est pas dépassé pour la seconde année consécutive. Pour le terrassier indépendant qui exerce une activité libérale ou artisanale, le seuil de base est de 34 400 euros et le seuil majoré de 36 500 euros. En cas de dépassement de ce dernier, il sera tenu de facturer la taxe sur la valeur ajoutée dès le premier euro facturé, à partir du mois où le plafond a été dépassé.
Cette dernière mention est obligatoire pour l’auto-entrepreneur spécialiste du terrassement en vue de pouvoir profiter pleinement de ses droits. Il en sera de même pour l’obtention d’un numéro SIRET. A titre de rappel, le code à 14 chiffres enregistré permet d’identifier la micro-entreprise lors de l’accomplissement de toute formalité fiscale et administrative.