Reconversion vers le métier de vigneron

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Le métier de vigneron cumule trois types d’exercices, dont celui de l’agriculteur, du viticulteur et du viniculteur. Le vigneron assume entièrement les responsabilités de participation à toutes les étapes de la fabrication du vin. Son travail commence à partir du travail de la terre jusqu’à la commercialisation de la production. Le vigneron doit disposer d’une large polyvalence et une très grande implication à son métier. Sincèrement, le travail d’un vigneron est très dur. Si le travailleur est favorablement motivé par une participation à l’évolution des us et du patrimoine culturel français, il pourra prétendre à assumer la reconversion au métier de vigneron.

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Les activités à assuré pour une reconversion professionnelle au métier de vigneron

Toutes les activités commenceront par le travail du sol jusqu’à la commercialisation du vin. Il faudra ainsi s’appliquer aux passages suivants :

  • Plantation des vignes ;
  • Entretien de tout le domaine viticole ;
  • La récole du raisin
  • La fabrication du vin ou la vinification ;
  • La mise en bouteille des produits
  • La commercialisation du vin

Les qualités nécessaires pour se reconvertir au métier de vigneron

Primordialement, ce métier de vigneron se justifiera avec une passion du travail de la terre. D’importants investissements seront requis à cet effet et pendant toutes les étapes s’affichant dans le travail du vigneron et jusqu’à la production du vin. Pour information, le raisin est un produit fragile et de grands soins devront être appliqués pour obtenir le meilleur des crus. Pour acquérir une bonne appréciation du vin, tous les aspects le conditionnant devront être connus. Entre autres, on parlera des méthodes d’entretien et de production, et d’autres conditions préalables. La rigueur fait partie des qualités requises pour maîtriser le métier de vigneron et pour atteindre les meilleurs résultats.

Le travail de vigneron est un métier physique. Une bonne condition physique est ainsi requise pour arriver à travailler la terre et plantée. Il en sera de même pour les activités de récolte et d’entretien du vignoble. Le vigneron est censé s’occuper des vignes qu’il vente, pleuve, neige ou fasse très chaud. Les conditions de travail ne sont pas incontestablement faciles, mais il faudra les admettre.

C’est pour ces raisons que la profession d’un vigneron n’est pas un métier manuel. Généralement, c’est un travail de contact que ce soit avec les employés du domaine viticole ou bien avec les acheteurs. De ce fait, un bon relationnel s’avère être une qualité à avoir pour devenir vigneron. Le vigneron sera également appelé à vendre sa production et être par conséquent un bon négociateur et surtout un bon commerçant. Il ne faudrait jamais oublier que la concurrence est omniprésente dans cette activité. Enfin, les qualités d’un bon vigneron se confirment également avec une bonne curiosité. Les techniques de production évoluent au fil des ans et tout bon vigneron ne doit jamais se laisser dépasser par les nouvelles procédures.

Les études et formations requises

Une reconversion vers le métier de vigneron peut se faire conformément à de multiples cursus. On notera principalement les diplômes suivants :

Pour information, ces trois formations sont répertoriées au RNCP et sont en conséquent  éligibles au CPF.

Un travailleur peut librement mobiliser ses cumuls CPF pour le financement de la formation, pour une reconversion professionnelle au métier de vigneron dans le cadre de la formation continue.

Les éventuelles opportunités d’évolution

Un vigneron travaille uniquement dans un vignoble. Il peut être classé comme salarié d’un domaine viticole ou peut être propriétaire de ses vignes.

En France, les vignes figurent parmi les patrimoines culturels privilégiés, et les vignobles se transmettent toujours d’une génération à une autre. Par conséquent, acquérir de nouvelles terres pour pratiquer sa reconversion s’avère ainsi très difficile. La location des parcelles de vigne peut se faire actuellement.

Les activités dans un vignoble sont diverses, excluant ainsi toute monotonie. Néanmoins, une évolution peut toujours se faire dans le métier en multipliant les expériences professionnelles. A titre d’exemple, un bon vigneron peut s’orienter vers le métier d’œnologue ou de sommelier si nécessaire.