Pourquoi les entreprises hésitent-elles de procéder à un abondement du CPF de leurs salariés ?

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Si les branches professionnelles s’approprient progressivement du dispositif d’abondement, les entreprises hésitent de l’appliquer quand même en France. Le principe se base sur une proposition patronale pour abonder le CPF et destiné à coordonner une logique de dialogue social et de co-construction des actions de développement de compétences.

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Il faudrait admettre qu’actuellement, les entreprises auraient pourtant intérêt à s’engager dans cette démarche de financement, au bénéfice de l’ensemble de leurs parties prenantes.
 

Trois fois plus de formations diplômantes grâce au cofinancement

Les principaux objectifs d’une formation professionnelle du CPF consistent aux trois points suivants :

    • Le renforcement de l’employabilité
    • Le perfectionnement des compétences
    • L’accompagnement des employés dans l’évolution des métiers

Ces trois points importants désignent le fil conducteur de ces ambitieux objectifs des branches professionnelles.

Dans la réalité, il faudrait définir la manière de corriger le point négatif des entreprises. A l’analyse des chiffres publiés par la DGFIP, vers la fin du mois d’octobre 2021, il a été constaté qu’environ 6 000 employeurs avaient mobilisé des dotations pour abondement d’un montant total de 49 millions d’euros. De ce fait, on pourrait déterminer que la majorité des entreprises dédaigne une contribution à des parcours professionnalisant qui pourront accompagner leur besoin court et moyen termes.

Selon les déclarations du Centre Inffo relatives aux estimations de la Caisse des Dépôts, les résultats du cofinancement occasionnent un triple rendement du nombre des formations diplômantes et par dix la durée moyenne de formation

Un appui RH pour choisir le parcours le mieux adapté aux besoins

Il faudrait comprendre les réactions des entreprises. Les impacts du remplacement du Droit Individuel à la Formation ont fragilisé la responsabilisation des salariés à prendre en main leurs parcours professionnels. Contrairement aux programmes indispensables pour l’atteinte des objectifs de l’entreprise et l’implication des différents acteurs dans la démarche d’investissement en formation, la création du CPF a plutôt creusé un vide à combler entre les deux parties prenantes.

De son côté, l’employeur estime que la formation continue des salariés ne sera plus sous ses propres responsabilités. Les salariés de leur côté, estiment que l’entreprise ne pourra pas décider sur l’utilisation des contributions associés à un droit individuel.

Une opportunité de dialogue social à renforcer

Dans le cas où le salarié accepterait de se soumettre à une démarche collaborative avec l’employeur, l’entreprise pourra disposer de beaucoup d’avantages. De ce fait,

l’entreprise maintiendra le rôle d’accompagnateur du développement de ses ressources humaines, et assurera en même temps de la mise à jour des compétences. Le but est d’arriver à maîtriser les talents et compétences au lieu de renouveler une équipe par un autre recrutement. Le but à atteindre est d’assurer le renouvellement des capacités. Le système appliqué contribue à considérer ses propres employés en soutenant leur développement professionnel.

Dans la même lancée, une opportunité de renforcer le rôle des partenaires sociaux, sera confirmée à travers un accord collectif définissant chaque principal atout et la possibilité de l’abondement.

Finalement, pour le meilleur des résultats, il s’agira également de mettre au point, un point crucial pour favoriser ce cercle bénéfique. La mise en œuvre des solutions entrant dans le cadre du TMS ou le Training Management System et la plateforme CPF, définira avec succès des parcours de formation cohérents. En outre, il sera également possible de déterminer plus de visibilité en temps réel sur les compteurs des salariés.

La digitalisation de la gestion des formations apparaît comme un outil supplémentaire pour gagner en rendement et en garantie de l’efficience du principe adopté.