C’est la langue officielle des Pays-Bas qui peut se révéler intéressante sur le plan professionnel. En adoptant une formation CPF de Néerlandais, il est possible d’apprendre la langue sans débourser de l’argent.
Le financement d’une formation de Néerlandais
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Il est évident que le néerlandais n’est pas la langue étrangère la plus populaire en France. C’ est extrêmement rare de connaître des gens qui auront appris cette langue à l’école. Les élèves français préfèrent plutôt se tourner vers l’anglais, l’allemand, l’espagnol ou encore l’italien.
Les dernières statistiques de l’Éducation nationale démontrent que 95,7 % des élèves du secondaire optent pour l’anglais en LV2. L’espagnol arrive largement en tête en LV3 avec (72 %, devant l’allemand (16,4 %). Quant au néerlandais, les statistiques traînent très loin. Dans certains cas, cette langue figure parmi les propositions non comptabilisées en rapport. Le seul point positif est que la formation linguistique attirerait, tout au plus, la distinction du candidat aux yeux d’un recruteur. Une certification linguistique justifie toujours le niveau du candidat et le distingue son C.V. des autres candidats. Néanmoins, la formation linguistique en néerlandais est actuellement rendue possible grâce au CPF. Un crédit annuel de 500 euros par an est mobilisé pour cette formation en néerlandais.
Apprendre le néerlandais pour propulser sa carrière
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Les derniers chiffres du ministère de l’Économie et des Finances ont démontré que les Pays-Bas se présentent comme un partenaire très important pour la France. Pour confirmer cette assertion, les Pays-Bas constituent le 7e fournisseur et le 8ème client de la France. Les Pays bas figurent également comme le second pays d’accueil des IDE français avec un montant justifié de 193,6 milliards d’euros.
Ces déclarations confirment l’importance des opportunités économiques entre la France et les Pays-Bas. À tout candidat postulant auprès de l’une des entreprises néerlandaises, la connaissance linguistique en néerlandais se présente comme un véritable atout.
Les secteurs les plus concernés sont :
- l’agroalimentaire, avec des entreprises comme Heineken ou Refresco par exemple ;
- les services aux entreprises (Randstad) ;
- le commerce/la distribution (Zeeman, Action ou encore Hema) ;
- la pharmacie et le matériel médical ;
- le transport…
Mais il est également important de savoir que le néerlandais se distingue également avec les belles opportunités professionnelles en Belgique. Il y a près de six millions d’acteurs parlant le néerlandais. La Belgique figure comme le 6ème partenaire commercial de la France en 2020, les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint plus de 63 milliards d’euros de biens en 2020. À titre d’exemple, un investisseur belge a fait travailler près de 130 000 personnes en France dans une entreprise belge contrôlée. À tout intéressé pour une expatriation, il faudrait savoir que plus de 2 000 filiales françaises sont implantées en Belgique. On notera parmi ces filiales françaises, Carrefour, Decathlon, Orange, Total, Sanofi, Alstom…
L’inscription pour une formation linguistique néerlandaise auprès du CPF
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Si la maîtrise de la langue néerlandaise apparaît comme un point très important pour une évolution professionnelle, il est recommandé de confirmer spécifiquement une formation linguistique en Néerlandais auprès du CPF . Parmi les différents organismes de formation, il est possible de découvrir la liste des formations garanties et estampillées « respectant la charte de déontologie du CPF ».
Une fois la formation idéale trouvée, l’inscription auprès du CPF se fait de façon très simple. Il n’est pas nécessaire de faire valider la demande de formation par son employeur ou par une autre entité. La décision provient essentiellement du candidat. Une fois que le dossier d’inscription est soumis, l’organisme de formation confirmera sa réponse sous une dizaine de jours. Le financement sera entièrement effectué si les crédits de formation sont complets et aucun déboursement ne sera demandé. Autrement, le reste à devoir pourra être réglé par les propres soins du candidat. À cet effet, il peut même demander un abondement auprès de l’employeur ou auprès de Pôle Emploi.
