Formation pour devenir growth hacker

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C’est un métier qui vient de sortir du lot. Avec un nom difficile à prononcer, on pense souvent que c’est un travail illégal. Et pourtant, les grandes entreprises et leur département marketing ont en vraiment besoin. Il est vu comme un marketeur digital.

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Le métier de growth hacker

Avec l’apparition des startups, ce métier est né. Avec peu de moyens, elles voulaient captiver un maximum d’utilisateurs. C’est là que le growth hacker prend place. Son but est d'atteindre cet objectif de croissance tout en réduisant les charges au niveau du service marketing et de communication. L’activité du growth hacking est une nouvelle façon pour une croissance rapide de l’entreprise. Le terme « hacker » provient du fait que les moyens utilisés sont définis non conventionnels, seulement pour attirer un maximum d’abonnés. 

Pour atteindre ses objectifs, il devra trouver différents procédés de marketing et d'informatique : améliorer le web design, le contenu web, analyser le trafic, SEO, SMO, emailing, expérience client, community management, Google Analytics... C’est un travail qui regroupe tout aussi bien les fonctions du développeur que du chargé en marketing. 

La politique de croissance est individualisée pour chaque entreprise. On pourra y apercevoir un côté psychologique, car il doit faire de son mieux pour cerner l’utilisateur et l’attirer jusqu’à lui. Cette stratégie marketing a pour objectif d’attirer de nouveaux clients, d’avoir une réputation ou une e-réputation ainsi qu’un retour sur investissement bien visible.

Le growth hacker a sa place durant tout le « cycle de vie du client ». Le schéma AARRR formalisé par Dave McClure présente les divers moyens pour le growth hacker d’atteindre sa cible :

  • acquisition : grâce au référencement naturel, SMO (Social Media Optimization), relations presse...
  • activation : en créant des comptes
  • rétention : regagner la confiance du client grâce à l’e-mailing
  • referral : utilisation des invitations, partages sur réseaux sociaux...
  • revenue : lorsqu'il doit payer pour le service

Les compétences et qualités requises

Ce métier réclame une diversité de connaissances, obligatoire pour réussir dans ce métier :

  • Être polyvalent : plusieurs techniques sont appliquées pour obtenir une solution efficace. De ce fait, il doit maîtriser les outils web, la programmation, les réseaux sociaux ou encore manager un projet.
  • Être innovant et original : c’est sa création qui va jouer sur la solution finale présentée.
  • Avoir des aptitudes techniques : la maîtrise de l'informatique est obligatoire pour ce métier. La majorité des entreprises qui l’emploi sont des pure players tels que les startups. Avec l’informatisation de notre société, le marketing digital est capital pour renforcer sa base de données. De ce fait, sa tâche va tourner essentiellement sur la programmation de logiciel pour réduire les coûts, ce qui requiert des compétences informatiques. 

Les opportunités professionnelles

Des emplois en CDI sont disponibles pour les growth hackers. Il peut aussi travailler en tant que freelance, car leurs procédés peuvent être uniquement utilisés durant un temps bien défini pour captiver des clients pour une durée précise.

Le profil d’un growth hacker est très recherché. Il pourra changer d’entreprise autant qu’il le veut. Les entreprises informatique sont très friandes de ce type de profils. 

Sa polyvalence est son atout principal. En effet, en maîtrisant plusieurs activités, le growth hacker pourra se lancer à son propre compte , son cabinet de conseil. Il peut aussi exercer en tant que community manager, responsable marketing ou chargé de communication, chef de projet digital...